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La triomphante: roman

Résumé
La narratrice raconte sa vie d'exilée entre l'Egypte, l'Italie et la France. Elle devient journaliste, directrice d'imprimerie, patronne d'un groupe industriel. Pour l'exilée à perpétuité, la quête d'une identité devient aussi éprouvante que la quête du Graal pour les chevaliers.
Durée: 5h. 29min.
Édition: Sainte-Marguerite-sur-Mer (Seine-Maritime), Ed. des Equateurs, 2015
Numéro du livre: 30651
ISBN: 9782849904077

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Lu par : Suzanne Bettens
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Lu par : Claudine Pierre
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Résumé:Laure Manaudou, Marie-Josée Pérec, Anna Kournikova... oubliez. Dans quelques minutes, Alizée quittera la chambre d'appel, montera sur le plot de départ, se lancera au signal... et pendant huit minutes terrifiantes, va jouer sa vie. Alizée n'existe plus et ne ressuscitera que si elle gagne cette course mythique. Le 800 mètres nage libre aux Jeux olympiques : des Jeux auxquels elle n'aurait probablement pas dû participer. Peut-être parce qu'elle ne les méritait pas, ou peut-être parce qu'elle n'en voulait pas. Un état de grâce, aux yeux du monde extérieur, mais qu'Alizée ne ressent pas. Ce qu'elle ressent, elle, c'est le poids d'un entraînement de fer, qui lui a donné les clés d'une existence dorée mais sous le signe de la souffrance. Les boyaux qui se tordent, la combinaison qu'il faut enfiler sans la déchirer, les dernières recommandations de son entraîneur en tête, les souvenirs qui affluent, douloureux et dangereux. La solitude surtout, extrême, forcée, dans laquelle il faut se couler sous peine de crever là, sur le carrelage, avant même d'avoir plongé, avant d'avoir gagné ou perdu. C'est sa dernière course, ou sa vie qui recommence. Véritable parabole de la mort, orchestré par une impitoyable walkyrie, un récit suspendu qui vous entraîne pour la première fois dans la violence extrême du monde olympique.
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Résumé:Qu'est-ce que l'exil ? Julian Sargats s'était bien promis de ne jamais quitter Cuba, ni surtout La Havane que sa grand-mère lui avait appris à aimer mais il a à peine treize ans, en 1959, quand il doit s'en aller à Miami. Son père, un émigré espagnol parti de rien qui a fait fortune à Cuba, décide de mettre ses biens à l'abri du régime castriste. Sa mère a choisi une autre forme d'exil, l'alcool. Julian tente de s'intégrer à la société américaine, il parvient même à se faire accepter par le cercle très fermé des vieilles familles bostoniennes mais c'est finalement à Miami qu'il revient s'établir dans cette petite société d'émigrés cubains partagés entre une indéfectible nostalgie et un militantisme virulent. Julian, lui, cultive plutôt une sorte de scepticisme désabusé qui l'amènera à se séparer de la femme qu'il aime, Emma, une pasionaria anti-castriste sans jamais parvenir à l'oublier. Écrite dans une langue superbe (l'auteur, né à Cuba, écrit directement en français), cette méditation sur l'exil, peuplée de personnages attachants, a obtenu le prix Interallié en 1996.
Lu par : Michel Fleury
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Résumé:Au commencement, il n'y avait qu'un nom, ce nom, musical, exotique, véritable sérénade à l'ombre d'un jardin andalou : Claudio José Domingo Brindis de Salas y Garrido. Qui était-il, ce jeune homme ? D'où venait-il ? Je n'en avais pas la moindre idée. Un citoyen espagnol, sans doute, à en juger par l'étendue de ses noms et prénoms. Au Conservatoire, élèves et professeurs parlaient de lui avec admiration sans donner plus de précisions sur ses origines. C'était déjà un premier signe : le jeune homme s'entourait-il d'un voile mystérieux pour mieux fasciner les autres ?... Dans ce roman librement inspiré de la vie d'un grand violoniste cubain de la fin du XIXe siècle, Eduardo Manet renoue avec les thèmes qui lui sont chers et ont fait le succès de ses précédents ouvrages : l'exil, les mystères de l'amour et de la création.
Lu par : Olivier Gabrys
Durée : 3h. 35min.
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Résumé:Cela se passe à la fin du XIXe siècle entre Méditerranée et Caraïbes, Cap Horn et mers du Sud, Java et Singapour. Les faits ? pour la plupart ? sont réels, les rencontres, parce qu?imaginaires, d?une vérité troublante. C?est une histoire d?hommes perdus en mer, de bordels caraïbes et d?opium, de retrouvailles et de poésie, c?est une histoire de marins. Son nom, au héros, c?est Victor, Victor Combault. D?avoir un jour, enfant, vomit à la face de son père, il est dit par ce dernier le « Dragon ». Après avoir tâté, et mal, de la vie d?équipage, Dragon se fait la belle, laissant à quai une femme grosse tout en pleurs. Son fils Rodolphe le retrouvera-t-il avant ? Brodé avec finesse, narré avec rudesse, c?est une histoire d?orphelins et de naufrages, de trafics, de vie lente et violente.
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Est-ce que, moi, la petite fille de l'épicerie de la rue du Clos - des - Parts, immergée enfant et adolescente dans une langue parlée populaire, un monde populaire. je vais écrire, prendre mes modèles, dans la langue littéraire acquise, apprise, la langue que j'enseigne puisque je suis devenue professeur de lettres ? Est-ce que. sans me poser de questions, je vais écrire dans la langue littéraire où je suis entrée par effraction, " la langue de l'ennemi " comme disait Jean Genet, entendez l'ennemi de ma classe sociale ? Comment puis-je écrire, moi, en quelque sorte immigrée de l'intérieur ? Depuis le début j'ai été prise dans une tension, un déchirement même, entre la langue littéraire, celle que j'ai étudiée, aimée, et la langue d'origine. la langue de la maison, de mes parents, la langue des dominés. celle dont j'ai eu honte ensuite mais qui restera toujours en moi-même. Tout au fond la question est : comment en écrivant, ne pas trahir le monde dont je suis issue ?
Durée : 1h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17043
Résumé:Dans son roman, Annie Ernaux fait revivre ses souvenirs d'enfance et reconstruit, par la description de ses habitudes et faits l'image de son père, et son amour qui l'attachait à elle. L'auteur raconte sa vie à elle: on la voit grandir, poursuivre ses études, quitter ses parents, se marier, revenir dans sa famille, jusqu'aux derniers jours à Yvetot, quand son père meurt. Le roman s'ouvre sur l'épreuve pratique du Capes de l'auteur, dans un lycée de Lyon à la Croix-Rousse. Elle est Professeur de français «titulaire» et se trouve dans le train du retour, vers Annecy, où elle habite; elle prend la décision d'écrire...